Corps libres,

terres communes

Dans un écrin d'arbres, sauvage et verdoyant,
Le corps s'abandonne, libre et apaisant.
Sans artifice, sans masque et sans détour,
Les Bruyères d'Arvor vous offre un vrai retour.

Respectueux des êtres, des arbres et du sol,
Il célèbre la vie dans son plus simple envol.
Épuré dans ses formes et ses intentions,
Il invite à la paix et aux vraies connexions.


Convivial est le chant des matins sans bruits,
Où l'on partage un fruit, un regard, un appui.
Bienveillant est le geste, le mot, le silence,
Chaque présence devient une douce évidence.


Inclusif est le lieu, sans trône ni frontière,
Chaque corps y est juste, chaque peau est lumière.
Authentique est l'instant, sans besoin de paraître,
On y vit pour soi-même, sans devoir se soumettre.

Sensoriel est le monde, le vent sur la peau nue,
La lumière qui danse, les ombres qui s'allument.
Décomplexé, le pas s'enracine au chemin
Et l'on marche léger, sans bagage et sans frein.

Familial est le rire qui court entre les tentes,
Les enfants qui s'ébattent, les journées lentes.
Solidaire est le coeur, prêt à tendre la main,
Dans ce monde éthique, simple et humain.


Harmonieux est le chant des feuillages en fête,
Oû l'intime se mêle à la nature discrète.
Poétique est le souffle, la rosée sur la toile,
Le ciel qui s'ouvre, sans mur et sans étoile.


Vivifiant est l'air, la forêt, le soleil,
Chaque élément devient un doux réveil.
Tolérant est le lieu, sans regard qui condamne,
On y vit en accord, sans peur et sans drame.

Sauvage, épuré, mais jamais solitaire,
Ce terrain est un monde, un souffle, une lumière.
Un lieu libérateur, où l'on revient à soi,
Et où l'on devient arbre, nature, et joie.